J’ai été professeur à l’Université de Sherbrooke (1967-1970), puis à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) de 1970 à 2003. Je suis maintenant retraité comme professeur honoraire.
Mes activités se centrent dorénavant sur la promotion de l’utilisation de l’ADN à des fins de validation généalogique. Je poursuis aussi mes études sur la dominance agonistique.
J’espère que ma contribution de l’ADN rendra la généalogie plus rigoureuse et scientifique.
Les généalogies reposant uniquement sur les actes BMS (Baptêmes, Mariages, Sépultures) sont des structures de descendance en grande partie fausses. En effet, il se produit en moyenne 1% de descendances à chaque génération qui ne sont pas biologiquement les enfants de leurs deux parents culturels. Dans le jargon de la G/ADN on les appelle des ÉNP pour Événements Non Parentaux.
Il est maintenant possible grâce à l’ADN de valider certains lignages de nos généalogies, en particulier la lignée des pères et des mères et ceux qui ont des descendants cousins de la personne centrale de l’arbre généalogique (le ou la de-cujus). Non seulement nous validons ainsi en partie la documentation de notre généalogie, mais nous contribuons à l’établissement d’une base de signatures ancestrales des fondateurs et fondatrices de notre société et de notre nation. On trouvera quelques signatures validées à Catalogue de signatures ADN. Ces signatures, une fois validées, servent de phares pour valider les descendances et parcours documentaires d’autres généalogies.
En faisant tester notre ADN, nous contribuons à l’avancement des connaissances sur la phylogenèse de l’ADN et sur nos métissages.




