Yanick DEMERS’ CASE

I present here for your information the process that Yanick DEMERS and I follow to identify at which generation a non-paternal Event (NPE) occurred in his line of men.

Recap of the situation:
Yanick DEMERS discovers that he does not possess the  Y chromosome signature of his ancestor alleged at the documentary level, Jean DUMAIS / DEMERS (m: LECOMPTE Miotte, before 1617 / before 1617 Dieppe (Seine-Maritime: 76217 ) (GFAN # 44))

Indeed, a triangulation at http://miroise.org/catalogue/tri0183/ realized by the genealogist Denis BEAUREGARD shows that the signature of Jean DUMAIS / DEMERS belongs to haplogroup R-M269> M343, whereas the signature of Yanick belongs to the haplogroup G-M201.

Although the lineage of Yanick’s fathers has been rigorously documented and goes back to Jean DUMAIS / DEMERS, it is clear that in the line to Yanick there was an interruption of Y-DNA transmission from Jean DUMAIS / DEMERS since Yanick does not have the triangulated signature DUMAIS / DEMERS but that of another line of men.

This interruption of  Y-DNA transmission is called a * Non-Paternal Event * (NPE).
A NPE may occur, for example, following the adoption or silent assimilation of a child as a result of an illegitimate birth to a daughter of the family, a birth that is camouflaged by passing the child as a son of the grandmother, or following an infidelity or when a man adopts a new surname which he later transmits to his descendants.

The comparison of the STR signature of Yanick with those of men belonging to other lines of men reveals some matches that we will possibly explore in the future.
But, for now, it seemed important to determine at which generation this NPE had occurred.

The attached figure shows the kinship relationships that exist in Yanick’s immediate male family environment.

yanick3

 

A first test will determine if Grandfather Raoul had the same DNA-Y signature as Yanick.

To this end, we offered a DNA-Y 12 marker to Nicholas, Yanick’s first cousin (1c).
The results show that Nicholas has the same G-M201 signature as Yanick. The STR values ​​of the two signatures are the same and their Y-DNA belongs to the same G-M201 haplogroup that was predicted by FTDNA.

The results of the two first cousins ​​make it possible to triangulate the signature of their grandfather Raoul. Raoul was thus G-M201 like Yanick and Nicholas.
This triangulation allows us to infer that Yanick’s father, as well as his uncle (Nicholas’s father) were also G-M201, since the DNA-Y signature is integrally transmitted from father to son.

We can conclude from this first stage of the research that the NPE occurred either at the level of the grandfather himself (for example, Raoul might have been adopted) or before him, upstream, at his father, the father of his father, & c.

The next step is to try to triangulate the signature of  the great-grandfather of Yanick and Nicholas, namely Philippe DEMERS.

Since Grand-uncle Roland did not accept to have his DNA tested, his son 1c1r (first cousin once removed) will serve as a substitute since he possesses, in principle, the signature of his father Roland and he willingly agreed to be tested.

We anticipate two specific cases with respect to the result of the DNA-Y test on 1c1r:

E1: The Y-DNA signature of 1c1r is the same as that of Yanick.
The triangulation on Philippe will then be considered successful. This will logically imply that the great-grandfather of Yanick and Nicholas was already G-M201 and that his son Roland was also.

E2: The signature of 1c1r is not the same as that of Yannick (or Nicholas).
The triangulation on Philippe is not successful.

This E2 case holds an alternative:
a) The signature of 1c1r is IDENTICAL to the one that has already been triangulated for the ancestor of DUMAIS / DEMERS (at http://miroise.org/catalogue/tri0183/)
The NPE would then have occurred at the level of Grandfather Raoul who does not show the same signature as his father alleged in documentary terms.

b) The signature of 1c1r is DIFFERENT from that which has already been triangulated for the ancestor of DUMAIS / DEMERS (at http://miroise.org/catalogue/tri0183/)
Here several interpretations are possible and it will be necessary to test them (confirm, invalidate) by submitting to DNA tests  other male descendants of the great-grandfather Philippe.

Jacques BEAUGRAND Ph.D.

2016 sep 16

Cas Yanick DEMERS

English version at http://miroise.org/GparADN/yanick-demers-case/

Je présente ici pour votre information la démarche que Yanick DEMERS et moi-même suivons pour identifier à quelle génération s’est produit un Événement non paternel (ÉNP) dans sa lignée d’hommes.

Rappel de la situation:

Yanick DEMERS découvre qu’il ne possède pas la signature du chromosome Y de son ancêtre allégué sur le plan documentaire,  Jean DUMAIS/DEMERS (m: LECOMPTE Miotte, avant 1617/before 1617 Dieppe (Saint-Jacques) (Seine-Maritime : 76217) (GFAN #44) )

En effet, une triangulation à  http://miroise.org/catalogue/tri0183/  réalisée par le généalogiste Denis BEAUREGARD  démontre que la signature de Jean DUMAIS/DEMERS appartient à l’haplogroupe  R-M269>M343, alors que la signature de Yanick appartient à l’haplogroupe G-M201.

Même si la lignée des pères de Yanick a été rigoureusement documentée et remonte jusqu’à Jean DUMAIS/DEMERS, force est de constater qu’il s’est produit dans la lignée vers Yanick une interruption de la transmission de l’ADN-Y de Jean DUMAIS/DEMERS puisque que Yanick ne possède pas la signature triangulée DUMAIS/DEMERS mais celle d’une autre lignée d’hommes.

Cette rupture de la transmission d’ADN-Y s’appelle un *Événement Non Paternel* (ÉNP).

Un ÉNP peut se produire, par exemple, suite à une adoption ou à l’assimilation silencieuse d’un enfant, suite à d’une naissance illégitime chez une fille de la famille, naissance qui est camouflée en faisant passer l’enfant comme le fils de la grand-mère,  ou encore  suite à une infidélité ou encore lorsqu’un homme adopte un nouveau nom de famille qu’il transmet par la suite à ses descendants.

La comparaison de la signature STR  de Yanick à celles d’hommes appartenant à d’autres lignées révèle quelques concordances que nous explorerons éventuellement.

Mais, pour l’heure, il est important de savoir à quel niveau s’était produit cet ÉNP.

La Figure jointe  permet de visualiser les relations de parenté qui existent dans l’environnement familial masculin immédiat de Yanick.

yanick3

Figure jointe.

Un premier test déterminera si le grand-père Raoul possédait la même signature ADN-Y que Yanick.

A cette fin,  nous avons offert un test d’ADN-Y 12 marqueurs à Nicholas, le cousin germain (1c)  de Yanick.

Les résultats montrent que Nicholas possède la même signature G-M201 que celle de Yanick.  Les valeurs STR des deux signatures sont les mêmes et leur ADN-Y appartient au même haplogroupe G-M201 qui a été prédit par FTDNA.

Les résultats des deux cousins germains permettent de trianguler la signature de leur grand-père Raoul.   Raoul était donc G-M201 comme Yanick et Nicholas.

Cette triangulation autorise de plus d’inférer que le père de Yanick, de même que son oncle (le père de Nicholas) étaient G-M201 eux aussi, puisque la signature ADN-Y est transmise intégralement de père à fils.

Nous pouvons donc conclure à cette première étape de la recherche que l’ÉNP s’est produit soit au grand-père lui-même (par exemple, Raoul aurait pu avoir été adopté) ou soit avant lui, plus en amont, son père, le père de son père, &c.

La prochaine étape consistera à tenter de trianguler sur l’arrière-grand-père de Yanick et Nicholas,  à savoir  Philippe DEMERS.

Puisque le grand-oncle Roland n’accepte pas de faire tester son ADN, son fils 1c1r (cousin germain éloigné au premier degré) pourra servir de remplaçant puisqu’il possède en principe la signature de son père Roland et qu’il accepte volontiers de se faire tester.

Nous anticipons deux cas d’espèce en ce qui regarde le résultat du test ADN-Y sur 1c1r:

E1: La signature ADN-Y de 1c1r s’avère la même que celle de Yanick.

La triangulation sur Philippe est alors considérée réussie.  Cela impliquera logiquement que l’arrière-grand-père de Yanick et de Nicholas était déjà G-M201 et que son fils Roland l’était aussi.

E2: La signature de 1c1r n’est pas la même que celle de Yannick (ou de Nicholas).

La triangulation sur Philippe n’est pas réussie.

Avec une alternative:

a) La signature de 1c1r est IDENTIQUE  à celle qui a déjà été triangulée pour l’ancêtre des DUMAIS/DEMERS (à http://miroise.org/catalogue/tri0183/)

L’ÉNP se serait alors produit au grand-père Raoul qui ne possède pas la même signature que son père allégué sur le plan documentaire.

b) La signature de 1c1r est DIFFÉRENTE de celle qui a déjà été triangulée pour l’ancêtre des DUMAIS/DEMERS (à http://miroise.org/catalogue/tri0183/)

Ici plusieurs interprétations sont possibles et il faudra les tester (confirmer, infirmer) en soumettant à des tests ADN d’autres descendants masculins de l’arrière-grand-père Philippe.

Jacques P. BEAUGRAND Ph.D.

2016-09-16


Aucun candidat descendant en filiation directe de Roland, grand-oncle (voir la Figure plus haut), n’acceptant de se faire tester un appel à tous a été lancé pour recruter un descendant en filiation directe du  4e arrière-grand-père Louis Demers.  Voir la Figure 2.   Louis DEMERS s’est marié deux fois.  Un candidat a été trouvé en la personne de <Dominic>  de son second mariage avec Marie-Geneviève Huart.  Les résultats du test indiquent que ce dernier possède la signature de Demers/Dumais validée par la triangulation TRI0183 à  https://bit.ly/39NBT2n
Donc, la fausse paternité (ÉNP) se serait produite à son premier mariage (avec Marie-Françoise Paquet) ou plus en aval.


Figure 2.

La triangulation expliquée simplement

Deux généalogistes se rencontrent par hasard et après les cérémonies d’usage de politesse l’une d’elle dit qu’elle venait de découvrir qu’elle possède une Fille du Roi comme fondatrice de sa lignée des mères au Canada.

–Curieux mois aussi! Laquelle?
–Marguerite MATRET.
–Aie! Quelle coïncidence! Moi aussi!

–Tu sais pas quoi? Il paraît que si c’est vrai nous devrions alors avoir toutes les deux la même signature ADN mitochondriale. De plus, notre signature serait celle de Marguerite MATRET transmise de mère en mère jusqu’à nous.

— Tu veux dire par la lignée utérine des mères?
–Oui. Tu sais ce qu’on va faire? Nous allons faire tester notre ADN mitochondrial chacun de notre côté et allons comparer nos résultats.
–D’accord.

Un mois plus tard les résultats de ce deux généalogistes tombent dans leur page personnelle respective à Family Tree DNA et elles constatent que leurs ADN-mt respectifs appartiennent tous deux à l’haplogroupe  H1n5 et qu’elles possèdent exactement les mêmes mutations rCRS:  T146C T195C A263G 315.1C T471C T16519C.

Chacune d’elles a dressé sa liste des mères jusqu’à Marguerite MATRET et elles les comparent pour constater que leurs matrilignages arrivent sur Marguerite MATRET par deux de ses filles différentes.

La première arrive sur la matriarche par Françoise MICHAUD MICHEL qui a épousé Gilles DUPONT Gilles en 1670 (GFAN #1435)
Et la seconde par Marie Louise MICHAUD MICHEL qui a épousé Jean DAGNEAU dit LAPRISE le 10 septembre 1670 à Québec (GFAN #1395)

–Tu sais quoi? Nous venons de trianguler la signature de notre matriarche Marguerite MATRET
–Ah oui, comment ça?

Suis bien mon raisonnement.
Si nous descendons toutes deux de Marguerite MATRET selon nos matrilignages et que nous possédons toutes deux la même signature ADN-mt,
étant donné la loi de la transmission de l’ADN-mt qui est que l’ADN mitochondrial se transmet de mère en fille le long de la lignée utérine,

Alors nous devons conclure que notre signature est bien celle de Marguerite MATRET

–Tu m’en diras tant! On n’a pas besoin de déterrer ses vieux os pour connaître son ADN mitochondrial puisque c’est le nôtre!

–Tu ne sais pas quoi en plus? Nous venons de démontrer, presque de prouver, que nos recherches documentaires en lignées des mères sont valides, sont conformes à la réalité. Nous descendons toutes les deux vraiment de Marguerite MATRET !

–Super!

Cette triangulation se trouve à http://miroise.org/catalogue/tri0073/
Et si les deux généalogistes avaient connu l’existence du Catalogue de signatures ancestrales [ http://triangulations.ca ] elles auraient pu prédire leur ADN-mt, savoir d’avance qu’il serait de l’haplogroupe H1n5 avec les mutations rCRS:  T146C T195C A263G 315.1C T471C T16519C.

Triangulation explained simply

Two genealogists meet accidentally and after exchanging rituals of politeness one of them says she had just discovered that she had a Daughter of the King as founder of her matriline in Canada.

–Curious! me too! Which one?
–Marguerite MATRET.
–OMG! What a coincidence! Me too!

–You do not know what? It seems that if it is true then we should both have the same mitochondrial DNA signature. Moreover, our signature would be that of Marguerite MATRET transmitted from mother to mother down to us.

« You mean by the uterine lineage of the mothers? »
–Yes. You know what? Each of us will have her DNA tested independently and we will then compare our results.

–Okay.

One month later the results of this two genealogists fall into their respective personal family tree page and they find that their respective mt-DNAs belong to the haplogroup H1n5 and that they possess exactly the same mutations rCRS: T146C T195C A263G 315.1C T471C T16519C.

Each of them drew up her list of mothers as far as Marguerite MATRET and they compare them to find that their matrilineages arrive on Marguerite MATRET by two of her different daughters.

The first one arrives on the matriarch by Françoise MICHAUD MICHEL who married Gilles DUPONT in 1670 (GFAN # 1435)
And the second by Marie Louise MICHAUD MICHEL who married Jean DAGNEAU dit LAPRISE on September 10, 1670 in Quebec City (GFAN # 1395)

–You know what? We have just triangulated the signature of our matriarch Marguerite MATRET
– Oh yes, how’s that?

Follow my reasoning well.
If we both descend from Marguerite MATRET according to our matrilignages and we both have the same DNA-mt signature,
Given the law of mt-DNA transmission which is that mitochondrial DNA is transmitted from mother to daughter along the uterine lineage,

Then we must conclude that our signature is indeed that of Marguerite MATRET

« You’ll tell me so much! » One does not have to dig up her old bones to know her mitochondrial DNA since it is ours!

« We have just demonstrated, almost as a proof, that our documentary research in mothers’lines is valid, is conform with reality. We are both descending from Marguerite MATRET!

–Great!

This triangulation can be found at http://miroise.org/catalogue/tri0073/
And if the two genealogists had known the existence of the Catalogue of ancestral signatures [http://triangulations.ca] they could have predicted their mtDNA values, knowing in advance that it would belong to haplogroup H1n5 with the following rCRS mutations : T146C T195C A263G 315.1C T471C T16519C.

BDP

ico-chroniquesico-lexiqueGGi-ancetres

Captures d’écran

Pour faire des clichés ou des captures d’écran

de vos résultats ou de figures  il existe plusieurs moyens possible sur PC.

 

(1) Avec OneNote.

Si vous utilisez OneNote de MircroSoft Office,  sous Insertion il y a Capture d’écran.  C’est ce que j’utilise le plus. Il s’agit de sauvegarder  l’image et de la téléporter (upload)  par la suite.  Vous pouvez la copier (CTRL-C) dans votre clipper  et  la coller (CTRL-V)  dans le progiciel en question (FaceBook en ligne par exemple)

 

(2) Il existe des logiciels graphiques (e.g. Paint, Pain-Shop-Pro)  qui ont une fonction capture d’écran.

(3) Il existe des logiciels *stand alone* gratuits qui peuvent servir à capturer un écran. Une fois la capture faite il s’agit de la sauver et de l’éditer avec un autre logiciel pour en conserver certaines parties ou pour en réduire les dimensions.

e.g. Screen grab Pro http://screen-grab-pro.soft112.com/

Acethinker Grab pro  https://acethinker.com/desktop-recorder

pjb 2017-MAY-21

 

 

 

 

 

authorize the administrator to see your coding region

(1) Log on to your page at FTDNA
(2) On the left panel menu select *Manage personal information*
(3) Click on the tab entitled *Privacy & Sharing*
(4) At the level of the section entitled *My DNA results* and sentence *Who can view my mtDNA Coding Region mutations?* change it from *Only Me* to *project administrator* and select to which projects it should apply.

 

====

If you were tested at FTDNA, could you please authorize the administrator of your project to see your mutations present in the Coding Region of your mitochondrial DNA ?

By default, FTDNA hides the content of this region to visitors, including the administrator.

The administrator will keep this information confidential. The administrator needs this information to  suggest new subclades or new branches within your present haplogroup and subclade.

Since the computer program which finds matches in the FTDNA database does not consider mutations introduced by the condition heteroplasmy which is the presence of more than one type of mitochondrial DNA (mtDNA) within a cell or individual, the administrator will process this information and could propose matches unseen by FTDNA.
How to proceed to give the administrator the authorization to see the CR ?
(1) Log into your page at FTDNA
(2) On the left panel menu select *Manage personal information*
(3) Click on the tab entitled *Privacy & Sharing*
(4) at the level of the paragraph entitled *My DNA results* and sentence *Who can view my mtDNA Coding Region mutations?* change it from *Only Me* to *project administrator*
(5) Please also verify your authorization concerning the variable *Who can see me in project member lists?* and switch it to *members of the project*; otherwise other members will not know your existence in our project and will not be able to find you as a potential match. This is thus extremely important.

Jacques P. Beaugrand PhD,

 

 

 

Comment autoriser l’administrateur

Procédure à suivre pour autoriser l’administrateur à voir les mutations de la région codante:

1. Vous loger dans votre page à FTDNA
2. Cliquer dans la colonne de gauche sur *Manage personal information*
3. Cliquer sur le Ruban de tête (tab) *Privacy & Sharing*
4. Choisir la rubrique *My DNA Results* et cliquer sur *Who can view my mtDNA Coding Region mutations?*
5. Sélectionner les projets auxquels vous voulez accorder cette autorisation
6. Bien cliquer sur SAVE avant de quitter.

L’administrateur ne peut pas comparer deux signatures s’il ne peut pas voir les régions codantes des signatures à comparer.

 

====

Si vous avez été testé(e) à FTDNA et y détenez une page personnelle avec des résultats d’ADN mitochondrial, pourriez-vous SVP autoriser les administrateurs des projets dont vous êtes membres à voir les mutations contenues par votre région codante (CR)?
Seul l’administrateur pourra les étudier et le contenu demeurera strictement confidentiel.
Le but est de permettre à  l’administrateur de faire des comparaisons précises entre signatures (dans une triangulation par ex.) et de suggérer éventuellement de nouveaux sous-clades, de nouvelles branches à la taxonomie de l’ADN-mt.
L’administrateur pourra déclarer l’existence d’une concordance entre deux signatures ADN-mt s’il peut voir toutes mutations des signatures à comparer et en éliminer d’autres reposant uniquement sur les régions hypervariables. Le programme d’ordinateur automatisé à  FTDNA n’est pas assez fin pour faire ce travail. Il déclarera deux signatures non apparentées à cause de mutations banales considérées significatives et de la présence d’hétéroplasmie (présence dans le même ADN-mt d’une position mutée et de la même position conforme au référent et non mutée). Il pourra aussi déclarer des concordances fausses positives.

Comment procéder pour créer cette autorisation?
(1) Vous loger dans votre page personnelle à FTDNA;
(2) Choisir dans le menu de gauche *Manage personal information*;
(3) Ouvrir le volet *Privacy & Sharing*;
(4) Au niveau du bloc *My DNA results* choisir le commutateur *Who can view my mtDNA Coding Region mutations?* et spécifier dans le menu *project administrator* au lieu de *Only Me*;
(5) SVP vérifier l’état du commutateur *Who can see me in project member lists?* et le commuter à *members of the project*, sinon les autres membres du projet ne sauront pas que vous êtes membres du même projet et vous ne serez pas un *match* potentiel avec vous. Ce commutateur est donc très important.

Merci!!

Jacques P. BEAUGRAND

beaugrand.jacques@uqam.ca

 

 

 

 

Traduction en espagnol

Somos afortunados en Canadá francesa abajo de cerca de 8.000 colonos de Nueva Francia en el siglo 18. Estos primeros hombres trajeron con ellos sus firmas Y-DNA. Las primeras mujeres llevaron el ADNmt.
Sucedió a principios de la colonia alguna cruce con nativo. Los hombres europeos franceses tomaron para sí mujeres de las mujeres indígenas, por lo que la población de los canadienses franceses tiene un poco más del 5% del ADNmt cepa amerindia (precolombina).
Otra de nuestras posibilidades eran los registros de BMS han sido bien conservadas, microfilmados y digitalizados decodificado temprano.
Otro hecho importante, muchos CF emigró a los Estados Unidos de América en el siglo 19 para trabajar. Varios mismos establecidos y dan cuenta de alrededor de 8 millones de descendientes que viven en los EE.UU.. Otra de nuestras posibilidades es, precisamente, estos primos * * estadounidenses tienen curiosidad acerca de sus raíces y son lo suficientemente ricos como para pagar por las pruebas de ADN. El francés canadiense también son muy aficionados a la genealogía y la historia, pero, al igual que los franceses de Francia, todavía son cautelosos acerca de la idea de poner a prueba su ADN.
Por lo tanto, la gran mayoría de la FTDNA proyecto relativo al patrimonio francés, son * * estadounidenses que viven en los Estados Unidos.
Las firmas de catálogo ancestrales validados por ADN es http://triangulations.ca
Actualmente contiene 68 firmas ADNmt e Y-92 firmas de ADN
El proyecto ADN Héritage Français (patrimonio francés) tiene 6.100 miembros y se hace más fácil para validar las firmas de los miembros (que son en su mayoría estadounidenses * *).
Este catálogo tiene como objetivo identificar ADN mitocondrial y ADN-firmas de los fundadores y fundación de linajes de ADN de origen europeos (franceses, irlandeses, ingleses, escoceses), como una persona aborigen que conforman las firmas de ADN de la piscina y y ADNmt descendientes de los primeros pobladores de América del Norte.
fue triangulada cada catálogo de firmas.
La operación se explica http://miroise.org/catalogue/le-catalogue/
En esencia, en el caso del ADN mitocondrial, que es encontrar dos personas cuyas firmas mitocondrial (ADNmt) coherente y demostrar en el nivel documental que descienden directamente en el linaje directo de las madres de una matriarca que incluso fundó su línea uterino en América del Norte o que es un descendiente nacido del útero antes de 1750.
Lo que hace un catálogo de este tipo?
Por supuesto, es conocer la composición de la herencia del ADNmt y ADN-Y de las Laurentiens originales.
Sirve como un faro para aquellos que hacen la prueba y no se sabe quién fue su matriarca o patriarca en América del Norte.
Contiene las firmas se utilizan para validar nuestros genealogías. De hecho, cada una de las ramas de nuestra genealogía consta de una línea materna o paterna se hace posible probar mediante la comparación de la firma de ADN de un descendiente del ancestro a que en el vértice de este linaje.
El catálogo es ya una herramienta valiosa para los que se han dado en adopción como hijos.
En muchos casos, las firmas son altamente idiosincrásico por lo que es posible decir con precisión lo que los antepasados ​​de una persona desciende.

 

 

Aperçu du Catalogue

Nous avons la chance au Canada Français de descendre d’environ 8,000 colons établis en Nouvelle France au 18e siècle. Ces premiers hommes ont apporté avec eux leurs signatures ADN-Y. Les premières femmes apportèrent l’ADN-mt.
Il s’est produit au début de la colonie quelques métissages avec des autochtones. Les hommes européens français prirent pour épouses des femmes autochtones, de telle sorte que la population de Canadiens français possède un peu plus de 5% d’ADN-mt amérindien de souche (précolombien).
Une autre de nos chances a été que les registres des BMS ont été très bien conservés, microfilmés, décodés et numérisés assez tôt.
Autre donnée importante, de nombreux CF émigrèrent aux États-Unis d’Amérique au 19e siècle pour y travailler . Plusieurs s’y établirent et comptent aujourd’hui environ 8 millions de descendants qui vivent aux ÉU. Une autre de nos chances est justement que ces cousins *Américains* sont curieux de retrouver leurs racines et sont suffisamment fortunés pour se payer des tests d’ADN. Les français du Canada sont aussi très friands de généalogie et d’histoire mais, comme les français de France, demeurent encore frileux à l’idée de faire tester leur ADN.

Ainsi, la très grande majorité des membres du projet French Heritage à FTDNA, sont des *Américains* vivant aux États Unis.

Le Catalogue de signatures ancestrales validées par ADN se trouve à http://triangulations.ca
Il contient à ce jour 68 signatures ADN-mt et 92 signatures ADN-Y
Le projet ADN Héritage Français (French Heritage) compte 6,100 membres et il devient de plus en plus facile de valider des signatures à partir de celles des membres (qui sont majoritairement des *américains*).

Ce Catalogue a pour objectif de répertorier les signatures ADN-mt et ADN-Y des fondateurs et fondatrices des lignées d’ADN d’origine européenne (française, irlandaise, anglaise, écossaise) de même qu’autochtone qui composent le pool des signatures ADN-Y et ADN-mt des descendants des premiers colons en Amérique du Nord.

Chacune des signatures du Catalogue a été triangulées.
L’opération est expliquée à http://miroise.org/catalogue/le-catalogue/

Essentiellement, dans le cas de l’ADN-mt, il s’agit de trouver deux personnes dont les signatures mitochondriales (ADN-mt) concordent et qui démontrent sur le plan documentaire qu’elles descendent directement, en lignée directe des mères, d’une même matriarche qui a fondé leur lignée utérine en Amérique du Nord ou qui en est une descendante utérine née avant 1750.

À quoi sert un tel Catalogue?

Il sert bien sûr à connaître la composition du patrimoine ADN-mt et ADN-Y des Laurentiens d’origine.
Il sert de phare à ceux qui se font tester et qui ne savent pas qui fut leur matriarche ou patriarche en Amérique du Nord.
Les signatures qu’il contient permettent de valider nos généalogies. En effet, chacune des branches de notre généalogie est constituée d’un matrilignage ou d’un patrilignage qu’il devient possible de tester en comparant la signature ADN d’un descendant à celle de l’ancêtre à l’apex de ce lignage.

Le Catalogue est déjà un instrument précieux pour ceux qui ont été donnés en adoption alors qu’ils étaient enfants.
Dans plusieurs cas les signatures sont très idiosyncratiques de telle sorte qu’il est possible de dire précisément de quel ancêtre une personne descend.

Jacques BEAUGRAND

2017 FÉV  21 9h20 EST